complot |
pas
de complot |
- En 1945, un B-25 perdu dans le brouillard a foncé dans
le 79e étage de l’Empire State building, faisant 14
morts et un million de dollars de dommages mais le building est
resté en place. (Loose Change) |
- Un B-25 fait 15195 kg, contient 2536 litres et va à 241
km/h : un 767 fait 127 000 kg, contient 37 855 litres et va à 800
km/h
- La force cinétique est 200 fois plus grande pour un 767. Ce dernier contient aussi 15x plus de carburant. |
- D’après Marc Birmach, qui a vu l’avion avant
l’écrasement, il ne ressemblait pas à un avion
de ligne et n’avait pas de hublots. (Loose Change) |
- Il se trouvait à 3,2 km, ce qui rend impossible de distinguer
les détails de l’avion. De plus, l’avion allait à 800
km/h.
- Des photos des décombres montrent clairement qu’il
y avait des hublots. (Chertoff et al, 2005) |
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- Le lobby des tours a explosé, ce qui démontre la
présence d’explosifs à la base. (Loose Change) |
- L’incendie s’est propagé par les corridors
verticaux, ce que la FEMA (Federal Emergency Management Agency) et
la NIST (National Institute for Standard and Technology) ont confirmé.
- Les débris ont fait des brèches dans les corridors
verticaux.
- Du carburant en feu a pu descendre par les ascenseurs, selon les
rapports de la FEMA et de la NIST.
- Des ascenseurs ont « slamed right down to the ground
floor », brisant les portes à l’arrivée.
(Chertoff et al, 2005) |
- L’acier ne fond pas avec un incendie de kérosène.
- Kevin Ryan, employé d’un laboratoire testant l’acier
a dit que l’acier était certifié pouvoir supporter
une chaleur de 1100 degrés Celsius pendant plusieurs heures
(Loose Change). |
- Vrai, l’acier fond (se
liquéfie) à 1510
degrés Celsius et
un incendie de kérosène brûle à 815
degrés. Évidemement, iI
n'est pas nécessaire que l'acier se liquéfie que
les tours s'effondrent. L’acier perd 50% de sa force structurelle à 593
degrés et 90% à 982 degrés.
- Les incendies dans les espaces clos varient entre 600
et 1200 degrés Celsius.
- Les flammes auraient atteint près de 1000 degrés
Celsius. (Dubé, 2006)
- Il y avait d’autres combustibles que le kérosène.
- Les plastiques, bois et papiers augmentent la température
pour plusieurs minutes. Les incendies de bureaux peuvent monter jusqu’à 1300
degrés Celsius. (Mackey, 2007)
- Pour s’effondrer, les structures n’ont pas besoin de
fondre, juste de perdre leur force structurelle (Chertoff et al,
2005)
- L’acier peut se tordre et se plier dans un incendie ordinaire. |
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- L’analyse des morceaux d’acier trouvés montre
que la température maximum était de 600 degrés
Celsius. (Griffin, 2007)
- La fumée noire démontrerait un feu de moins de 1000
degrés Celsius. (Griffin, 2007) |
- Les morceaux trouvés proviennent des colonnes extérieures,
donc elles étaient moins chaudes car refroidies par l’air.
(Mackey, 2007)
- La couleur de la fumée dépend du combustible, pas
de la température. La fumée noire signifie de l’huile,
du kérosène, etc. (Mackey, 2007) |
- Il n’y aurait pas eu de fenêtres brisées par
l’incendie. (Griffin, 2007) |
- Les photos et vidéos montrent des fenêtres brisées,
avec de la fumée qui en sort. (Mackey, 2007) |
- Certains pompiers n’auraient pas vu un feu immense, d’après
les enregistrements.
- Le temps de combustion n’a pas été assez long
pour endommager l’acier.
- Les colonnes auraient dû résister à 2000 degrés
F, durant 6 heures selon leur certification. (Griffin, 2007) |
- Le feu peut paraître plus petit vu de l’intérieur.
- Le 78e étage où se trouvaient les pompiers était
un lobby, donc moins de fournitures qui brûlent.
- L’acier des colonnes prendrait entre 6 et 15 minutes pour
atteindre 700 degrés Celsius avec un feu de gaz de 1100 degrés
Celsius.
- La certification de l’acier n’est pas vraie selon la
NIST. |
- Plusieurs immeubles ont brûlé pendant des heures
sans s’effondrer. (Griffin, 2007) |
- Les exemples de ces immeubles sont très différents
de ce qui est arrivé au WTC (incendies combattus par pompiers,
chaleur limitée, murs intacts, etc.) (Mackey, 2007) |
- Un expert en explosifs, Van Romero, aurait dit que les nuages
de fumée démontraient la présence d’explosifs
et que l’effondrement était trop méthodique.
(Loose Change) |
- Il s’est par la suite excusé, disant que c’est
ce dont ça avait l’air, et non que c’était
le cas. (Chertoff et al, 2005)
- Il y a eu un effet « sandwich », l’effondrement
d’un étage sur l’autre a produit l’expulsion
de l’air en nuages de poussière (« pancaking »).
La force de la pulvérisation a affaibli le plancher du haut
qui tombe sur celui du bas et ainsi de suite. (Chertoff et al, 2005) |
- D’après les témoins, les vidéos et
les photos, l’effondrement avait l’air d’une démolition
contrôlée.
- Si il n’y avait pas eu d’explosifs, la tour ne se serait
pas effondrée sur elle-même, mais sur le côté. |
- C’est le problème, ça avait « juste
l’air ».
- Des photos montrent clairement que la tour sud a penché sur
le côté avant l’effondrement total (Molé, 2006) |
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- Il y aurait eu des flash lorsque les avions ont percuté les
tours, ce qui montre la présence d’explosifs. (www.911review.com) |
- Ça peut être l’électricité ou
l’énergie cinétique lorsque l’acier et
l’aluminium entrent en contact. Ça peut être l’oxydation
de l’aluminium. (www.911review.com) |
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- On voit des « squibs » (expulsion d’air
et de débris) aux étages inférieurs, au début
de l’effondrement, qui serait des explosifs pour affaiblir
la structure. (Molé, 2006)
- Lors de l’effondrement, il y aurait eu des flash lumineux,
similaires à ceux présents lors de démolitions
contrôlées par explosifs (Loose Change). |
- Les « squibs » commencent après
l’effondrement et la pression de l’air très grande
peut créer ce phénomène. IL ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un effet de marteau pilon de plusieurs centaines de tonnes s'écroulant étage par étage jusqu'au sol, causant des vibrations très puissantes. La secousse sismique a été mesurée à 34km de distance de là. Il aurait été surprenant qu'aucune fenêtre ne soit brisée avant l'effondrement total !
- La façon dont les avions se sont encastrés influence la
façon dont les tours sont tombées, en affaiblissant
certaines zones. (Molé, 2006) |
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- Il y avait une pièce suspecte sous le Boeing ayant percuté la
tour Sud, qui pourrait être une bombe. (Loose Change). |
- Photos tellement floues et de faible qualité qu’on
peut y voir n’importe quoi.
- Après inspection par expert, il s’agit d’un
reflet de lumière (Dunbar et Reagan, 2006).
- La lumière a amplifié cet élément.
Ce serait l’équipement d’atterrissage. (Chertoff
et al, 2005) |
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- Teresa Veliz travaillait au 47e étage de la tour nord et
a dit avoir entendu des explosions partout et que ça ressemblait à des
bombes dissimulées.
- On entend un pompier décrire des explosions sur un enregistrement. |
- « Ressemblait », rien de sûr. |
- Les tours se sont effondrées en 10 secondes, ce qui montre
une démolition contrôlée (Loose Change) |
- En fait, ça a pris entre 15 et 25 secondes. Plus l’effondrement
progresse et plus ça accélère en raison du poids
des étages. (Mackey, 2007) |
- Plusieurs gratte-ciel ont brûlé pendant des heures
sans s’effondrer (1988, Los Angeles et Philadelphie) (Loose
Change). |
- Tous les gratt-ciels ne sont pas
équivalents. Tous les gratte-ciels en feu n'ont pas des colonnes sectionnées
par l'impact d'un avion. |
- Hyman Brown, manager de la construction du WTC a dit que le WTC
avait été conçu pour résister à tout,
même à un avion le percutant. (Loose Change) |
- Effectivement. Mais les meilleurs
plans humains sont faillibles. |
- Il y aurait eu une 2e explosion juste avant l’effondrement
(Loose Change) |
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- Les secousses séismiques les plus fortes ont été enregistrées
au début de l’effondrement, ce qui « prouve » la
présence d’explosifs de démolition. |
- En fait, plusieurs sites Internet on seulement montré un
graphique. Si on regarde l’autre, on voit des secousses de
plus en plus grandes jusqu’à l’effondrement
complet. (Chetoff et al, 2005). |
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- Il aurait été impossible pour des pilotes peu expérimentés
d’effectuer les manœuvres nécessaires (rotations)
pour entrer dans les tours comme ils l’ont fait.
- Seuls des dispositifs placés dans les tours pouvaient les
attirer. (Meyssan, 2002a) |
- Affirmation gratuite. |
- Il est impossible qu’on ait retrouvé le passeport
d’un des présumés terroristes dans les décombres.
(www.911myths.com) |
- On a toutefois retrouvé,
en plus du passeport, des cartes d’embarquement et plusieurs
effets personnels des passagers. Une photo montre des effets dans la
rue (www.911myths.com). Une grande
quantité de papier et autres objets ont été ejectés des édifices avec
la force de l'impact. |
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- Le propriétaire du WTC, Larry A. Silverstein aurait signé un
bail de 99 ans et de 3,2 milliards de dollars six semaines avant
le 11 septembre 2001, contenant des assurances couvrant spécifiquement
le terrorisme pour 3,5 milliards de dollars. (Loose Change) |
- Le WTC était assuré contre le terrorisme depuis
l’attentat en 1993. (www.911myths.com) |
- Les chiens renifleurs de bombes ont été retirés
du WTC quelques jours avant, laissant le champ libre pour mettre
des explosifs.
|
- Il aurait fallu poser des explosifs et des bombes à chaque étage,
ce qui aurait été difficile à faire sans
que personne ne s’en rende compte. (Dubé, 2006) |
- Selon Ben Fountain, analyste financier travaillant au WTC, il y
aurait eu plusieurs simulations imprévues où des sections
du WTC étaient évacuées, laissant le champ libre.
(Loose Change) |
- Il aurait fallu mettre assez d’explosifs
pour détruire
25 000 tonnes de structure, sans compter des kilomètres de câblage,
ce qui aurait été remarqué.
(Mackey, 2007) |
- Selon un courriel de Scott Forbes, travaillant au WTC, le courant
aurait été coupé pendant 36h le 8 et 9 septembre à partir
du 50e étage. (www.911review.com) |
- Information fausse. L’identité de « Scott
Forbes » n’a
jamais été démontrée.
- Personne n’a confirmé cette interruption de courant.
- Les caméras auraient quand même fonctionné lors
d’une panne car elles ont leur propre « power supply ».
(www.911review.com) |
- De grandes quantités d’or étaient stockées
dans le WTC et on ne l’a pas tout retrouvé, ce qui suppose
que certaines personnes averties l’avaient fait retirer avant
les attentats. (Loose Change) |
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- Le NIST (National Institute for Standard and Technology) aurait
exagéré les dommages causés par le premier impact.
- Les tours auraient dû tolérer l’impact car des études
d’impact avec des Boeings 707 avaient déjà été menées.
- Elles étaient construites pour survivre à l’impact
d’un Boeing. (Griffin, 2007) |
- Ce ne sont que des spéculations.
- Les risques qu’un avion percute un bâtiment ne sont
pas pris en compte dans le code de la construction.
- Les Boeings 767 sont beaucoup plus lourds et il allait plus vite
que dans le test. Il y avait également plus de carburant.
(Mackey, 2007) |
- Aucun building ne s’est jamais effondré suite à un
incendie. (Griffin, 2007) |
- C’est faux, le McCormick Place Exhibition Hall s’est
effondré après 30 minutes d’incendie, en 1967.
- L’incendie du WTC était au dessus de tout critère
de design raisonnable. (Mackey, 2007) |
- L’impact a été « relativement léger » (Griffin,
2007) |
- Les colonnes ont quand même perdu de leur force et le rapport
de la NIST ne dit pas que c’est l’impact qui a fait s’effondrer
les tours, mais bien l’incendie qui a suivi. (MacKey, 2007) |
- La NIST a utilisé des simulations par ordinateur pour reconstituer
les évènements. (Griffin, 2007) |
- Il n’y a rien de mal à ça, ils ont utilisé des
logiciels qui sont déjà fait leurs preuves. (Mackey,
2007) |
- Des témoins ont dit avoir vu, senti ou entendu une explosion.
- Il y aurait eu des « flash » dans le bas
du building.
- Il y aurait eu une première explosion avant l’impact.
(Loose Change)
- Un concierge qui se trouvait au sous-sol, Rodriguez, dit avoir
entendu une explosion avant l’impact de l’avion. (Loose
Change et Griffin, 2007) |
- Les termes sont mal définis. Ça « ressemblait » à une
explosion.
- Ça peut être plusieurs choses, comme des explosions électriques
ou le reflet de la lumière dans les fenêtres qui éclatent.
- Rodriguez a changé sa version des faits plusieurs fois.
- Comment a-t-il pu savoir que tel bruit correspondait à une
explosion et un autre à l’impact s’il se trouvait
au sous-sol ? Il pouvait s’agir de l’avion en premier
et des ascenseurs percutant le premier plancher ensuite.
- Les séismographes ne montrent aucune vibration avant l’effondrement.
S’il y avait eu des explosifs, ça aurait causé des
vibrations sur le séismographe. (Mackey, 2007) |
- La NIST n’a même pas considéré l’hypothèse
des explosifs. (Griffin, 2007) |
- Il n’y a aucun signe qui démontrent la présence
d’explosifs et les tours ont pu s’effondrer sans explosifs
alors il n’y avait pas lieu d’explorer cette hypothèse.
(Mackey, 2007) |
- L’effondrement vertical démontre la présence
d’explosifs de démolition contrôlée pour
ne pas causer de dommages autour. (Griffin, 2007) |
- L’effondrement vertical est possible même sans explosifs
de démolition contrôlée.
- Des dommages ont été causés aux alentours
(tours 7, 6 et 5) (Mackey, 2007) |
- Il y a eu trop de poussière éjectée, ce qui
montre la présence d’une forte énergie, causée
par des explosifs. Ce n’est pas seulement l’énergie
de la gravité car il y a eu un nuage de fumée dès
le début de l’effondrement. |
- L’effet « pancaking » a fait que les étages
qui s’effondraient sur les autres propulsaient une grande quantité d’air
et de poussière à l’extérieur. |
- Des débris d’acier ont été retrouvés à des
centaines de mètres. Seulement une explosion aurait pu les
propulser si loin. (Griffin, 2007) |
- La hauteur permet aux débris de voyager plus loin, même
sans explosion. (Mackey, 2007) |
- Des traces de sulfure auraient été retrouvées.
Le sulfure est un ingrédient commun pour les explosifs. (Griffin,
2007) |
- Il y a d’autres sources de sulfure : les génératrices
d’urgence, les « power supplies »,
etc. Il n’y a pas de sulfure dans les explosifs tels que le
TNT, le RDX, la dynamite et la nitroglycérine. (Mackey, 2007) |
- La NIST n’a pas recueilli assez d’acier pour pouvoir
l’analyser, puisqu’une grande partie a été vendue
en Chine (Griffin, 2007)
- Les débris d’acier ont rapidement été vendus à la
ferraille, ce qui montre qu’il y avait quelque chose à cacher.
(Griffin, 2004) |
- La NIST a recueilli des échantillons d’acier des
parties utiles. Pas besoin de la totalité, des échantillons
sont suffisants. (Mackey, 2007)
- une vente à la feraille est une façon peu fiable de cacher quelque chose. |
- Wirt Walker III et Marvin Bush, cousin et frère de George
W. Bush étaient des dirigeants de Securacom, compagnie qui
assurait la sécurité au WTC. Ceci a permis de mettre
les explosifs. (Griffin, 2007) |
- Cette compagnie a seulement conçu et installé les
dispositifs de sécurité électronique. De
plus, ils ont cessé leurs activités avec le WTC en
1998.
- Walker ne serait pas dans la famille de Bush.
- Et même si c’était vrai, ça ne prouve
rien. (Mackey, 2007) |
- L’effondrement aurait été causé pas
des armes nucléaires. (www.911review.com) |
- Il n’y avait pas de radioactivité dans les débris.
- La radioactivité reste longtemps dans les objets.
- Le nucléaire n’était pas nécessaire
pour démolir les tours du WTC. (www.911review.com) |
- Alors qu’il était dans une école, Bush aurait
vu le premier écrasement à la télé. Or,
les vidéos du premier n’ont pas été diffusées
le matin même. Bush aurait donc eu accès à des
vidéos secrètes, ce qui montre que c’était
planifié. (Meyssan, 2002a) |
- Bush a pu « voir » à la télévision
ce qui s’était passé, en parlant de la nouvelle
et non des images de l’incident. |
- Pourquoi être resté dans l’école ? Le
président aurait pu être une cible et ainsi mettre en
jeu la vie des élèves. Il devait savoir qu’il
n’avait rien à craindre.
- Il est par la suite parti à bord d’Air Force One,
sans être accompagné d’avions chasseurs. (Griffin,
2004) |
- Si l’école était une cible, elle aurait été touchée,
que Bush y soit ou non.
- pourquoi des avions chasseurs seraient-ils nécessaires devant ce type d'attaque ? |